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Fat Bottomed Girl

2 novembre 2012

Le changement, c'est maintenant !

Non, je ne me lance pas dans la politique... Je viens juste vous faire part d'un petit changement. Ne me demandez pas pourquoi, j'en avais ma claque de Canalblog (no offence), j'ai donc décidé de migrer vers Blogger (ne me demandez pas pourquoi non plus). J'en ai profité pour faire un peu de ménage. On retrouve donc la plupart des anciens messages de ce blog. 

 

Ne vous inquiétez pas, il s'agit juste d'un changement d'adresse, que voici : 

http://lifeasafatbottomedgirl.blogspot.be/

 

Allez, viens ! On est bien !

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31 août 2012

J'en fais trop ?

Parfois je me demande... Ces insectes qu'on écrase sans scrupules n'ont-ils pas eux aussi des sentiments. Il souffre quand même, c'est inévitable, mettez-vous à leur place. Ces petites bestioles, les connaissons-nous assez pour décréter qu'ils ne méritent pas de vivre et qu'il est sans importance de les éliminer (ben oui, y'en a tellement de toute façon) sous le seul prétexte qu'ils ont eu le malheur de croiser notre route ou de se balader trop près de notre plat de charcuterie ?

Les gens peuvent dire que je suis d'une sensiblerie exagérée, mais la raison qui les empêche de faire pareil avec des spécimens plus gros est non seulement d'ordre logistique mais aussi hygiénique. Imaginez la saleté que ça ferait, une souris écrasée à coup de savate sur le tapis du salon. Et encore ! on n'est pas tendre non plus avec les rongeurs : poisons, pièges, tapettes et j'en passe.

Les insectes, aussi insignifiants et vulnérables qu'ils puissent paraître seront sans doute les seuls à survivre à la fin du monde (c'est pour bientôt hein, décembre 2012).

Quel enfant n'a jamais mis de sel sur une limace pour la voir fondre et succomber dans d'atroces souffrances (enfin j'imagine) ? Réponse : moi. Pour tout vous dire, un jour de ma prime jeunesse, je creusais dans le jardin (on s'amusait comme on pouvait à la campagne dans ces années-là) et j'ai déterré un ver de terre. Je suis rentrée en courant dans la maison. En pleurs, je me suis cachée sous la table de la salle à manger, craignant pour le pauvre lombric qui allait, tel le poisson hors de l'eau, étouffer en dehors de son élément naturel.

 

insectes

 

Je crois qu'en fait, je tiens ça de mon père. Il y a quelques années, on s'est retrouvé avec 13 chats (3 adultes et 10 chatons) parce qu'il ne voulait pas s'en débarasser ou laisser quelqu'un le faire à sa place. Et ça, je comprends. Dernièrement, on a mis des fleurs en pots sous les fenêtres du jardin. Le mois de juillet ayant été plutôt humide, les escargots et limaces sont venus se sustenter allègrement au frais de la princesse. Alors bon, ces fleurs on ne les a pas eu gratos donc, il fallait faire quelque chose. En route pour le magasin de jardinage afin de trouver un répulsif. Un peu plus tard, il revient les mains vides. Les seuls produits disponibles exterminaient purement et simplement les pauvres bêtes. L'un d'eux était des plus vils ! Il s'agissait de paillettes auxquelles les gourmands gastéropodes n'auraient pas pu résister. Une fois leur estomac plein, ils seraient retourné dans leur tanière (abri ? terrier ?) la substance commencerait à gonfler pour les faire mourir à petit feu. Impensable ! Je sais que la question vous brûle les lèvres. Qu'avons-nous donc fait ? Solution artisanale, à l'ancienne et quelque peu contradictoire. Mon vieux chope les escargots et limaces trop avides et les balances dans le rosier trois mètres plus loin. Parfois il rate son coup et ils s'écrasent sur le muret juste à côté. Autre contradiction, il mène une lutte acharnées contre les araignées, les mouches et les pucerons.

Je vous donne déjà l'autorisation de rire à ce que je m'aprête à vous dire (si ce n'est déjà fait).

Même élaguer un arbre, c'est trop pour moi (j'avoue, faut que je sois au bout du roll quand même). Couper une branche revient pour moi à emputer la pauvre plante d'un membre tel un bras ou une jambe.

 

 

Dites-moi, honnêtement, est-ce que j'exagère ?

21 août 2012

Quand y'en a marre

Aaaaaaaah ! J’ai juste envie de crier un bon coup pour évacuer tout ça. J’ai encore merdé.

 

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Provenance

J’aspire réellement à l’évolution. Je veux avancer dans ma vie. J’en ai marre de stagner. J’en ai envie, mais j’ai la trouille. Je suis à un tournant de ma vie et j’ai peur. Trop peur de ce qui m’attend une fois que ça sera terminé. Je panique aussi, devant la masse de chose à accomplir. Je ne m’en crois pas capable alors que tout le monde semble penser le contraire. Mais qui peut savoir ça mieux que moi ? Je dois simplement reprendre confiance en moi et avancer petit à petit. Il faut que je me force.

Le problème, c’est que je réalise seulement maintenant que je n’ai peut-être pas fait le bon choix. Et de nouveau je sais que j’ai choisi quelque chose qui me tenait moyennement à cœur pour ne pas trop souffrir d’un éventuel échec. Pourtant, je dois aller jusqu’au bout maintenant et trouver une place, ma place.

Il y a beaucoup de choses qui doivent changer.

 

(Et pour être honnête, le 0% Fat ne fonctionne pas très bien en ce moment, étant donné que je me jette sur la bouffe dès que quelque chose me contrarie…)

 

18 juillet 2012

Comment je me suis remise au sport après presque 3 ans d'inactivité physique.

Et encore, 3 ans, je suis gentille avec moi-même. J'en avais déjà parlé, le sport et moi, ça fait 8000. Mais, là, ça a fait mal, très mal.

 

Synopsis :

 

Un jour de juillet pluvieux, une jeune fille pas super bien dans sa peau décide de monter sur la balance au prix de grands efforts psychologiques. N'appréciant pas trop ce qu'elle voit, elle se dit qu'il est temps de réagir. Malheureusement, sa volonté s'étiole devant un pain au chocolat subitement apparu dans la cuisine. Cinq minutes plus tard, la culpabilité a pris la place de la gourmandise (elle ne tient jamais le coup bien longtemps, la culpabilité). Armée de tout son courage, elle se rend le lundi suivant à un cours de Zumba accompagnée de ses deux soeurs. Tout se déroule plus ou moins bien, mais c'est là que tout bascule (littéralement ou pas).

 

Pourquoi c'est bien :

 

Le pitch est sympa, simple mais a le potentiel d'amener des surprises. Il dénote seulement d'un manque de crédibilité. On remarque aussi la bande sonore assez sympathique et entraînante, même si on s'enmèle un peu les pattes dans la danse. Cependant, il ne pourra nous faire que du bien.

 

Une petite erreur de casting :

 

On se serait bien passer de la scène du repas juste avant le cours et l'intervention de ce sandwich, vraiment de trop dans la partie et n'ayant pas vraiment d'utilité dans l'histoire. De plus, le cours en lui même vous retourne le coeur, on se prend de pitié pour cette pauvre jeune fille dont le centre de gravité est si mal défini et la psychomotricité si peu existante, qu'elle ne parvient pas à retenir les pas. Une bonne note cependant pour les étirements nécessaires, mais qui ne tirèrent pas en longueur.

 

Une fin douloureuse (Attention spoiler ! Oui enfin...) :

 

Un petit pincement au coeur, pour cette jeune fille qui a littéralement donné ses tripes pour réaliser tout ces sauts de biche, et bondissements de lapin. Heureusement, tout est bien qui finit bien.

 

 

 

 

Pour celles et ceux qui n'auraient pas saisi :

 

Je suis allée pour la première fois de ma vie à un cours de zumba ; J'ai eu la mauvaise idée de manger avant ; J'arrivais pas toujours à suivre les pas ; Je suis rentrée rouge comme une pivoine avec un horrible mal de crâne et l'estomac tout retourné ; J'ai agonisé pendant deux heures et enfin, j'ai fini par tout dégobiller ("Beuuuuh, craaaade !") ; MAIS, j'y retourne lundi prochain !

18 juillet 2012

Enfer et damnations !

J'ai osé ! Ce fut horrible, mais j'osai. Je montasse sur la balance ! Seigneur, ayez pitié de moi et de mon âme de sain(t)doux.

 

Ca, c'est fait. Ne comptez pas sur moi pour dévoilez ce que je visse (j'arrête là avec les conjugaison bizarre) s'afficher sur le cadran. Tout ce que je peux vous dire, c'est que c'était le genre de balance perfide qui te donne non seulement ton poids (évidemment pas celui auquel tu t'attendais, enfin si, mais avec un petit supplément), mais aussi le pourcentage de muscle, le pourcentage de graisse (aaaargh, ça fait encore mal rien que d'y repenser), ton BMI ou IMC (c'est chou vert et vert chou) et le nombre de calories que tu devrais ingurgiter par jour. Vous comprenez pourquoi j'en avais peur hein ?

 

Bref, ce que j'ai vu ne m'a pas plu du tout. Mais alors là, pas du tout du tout ! J'ai donc l'horreur et le déplaisir (beh oui, si elle existait pas c'est que y'aurait pas de problème) de vous annoncer la venue d'une nouvelle catégorie ! Et voilà donc :

 

"0% fat"

 

(Comment ça c'est nul ?)

 

Oui, j'aimerais que mon pseudo ne soit qu'un pseudo. Malheureusement, sa part de vérité est bien trop vraie aujourd'hui. Ca ne peut plus durer. Et pour me donner du courage, j'ai décidé de vous faire chier avec ça (*rire sardonique*). Enfin, sérieusement, il fallait que je le fasse.

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12 juillet 2012

Ca, ça fait juste du bien !

Il y a de ces petites choses semblant anodines à première vue qui, en réalité, procurent une dose de bonheur certe minime et de courte durée mais dont on ne pourrait plus se passer. En voici une liste non-exhaustive et sans doute un peu personnelle :

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  • prendre le soleil allongée dans l'herbe

 

  • rouler à l'ombre quand le soleil tape trop fort

 

  • se laver les oreilles avec un coton-tige (j'avoue, avant, je le faisais tous les jours, mais depuis une vilaine otite et les remontrances de mon médecin, je me retiens)

 

  • prendre une douche ou un bain bien chaud après une journée passée au froid

 

  • sortir de la douche et rester encore humide dans la fraîcheur de l'air par temps de canicule

 

  • se glisser dans les draps propre et frais (et surtout sans plis) d'un lit tout juste refait

 

  • boire un verre d'eau froide par grande soif et la sentir se répendre dans tout le corps (je suis la seule ?)

 

  • s'étirer comme un chat au réveil

 

  • retirer (enfin !) ses talons de 12 cm et se ballader pieds nus sur le carrelage froid

 

  • libérer sa crinière d'une coiffure trop serrée à la fin de la journée

 

  • s'attacher les cheveux d'une manière certe super moche mais sans mèche rebelle qui vient de chatouiller le nez ou la nuque quand tu rentre chez toi

 

  • enfiler un jogging et un t-shirt large et confortable en rentrant à la maison

 

  • en gros, passer en mode OFF

 

  • rire de bon coeur et sans retenue

 

  • etc

 

  • etc

 

  • etc

 

 

Vous en avez d'autres ? Et un top 3 peut-être ?

 

 

(Oui, j'aime les listes ^^)

9 juillet 2012

Je suis tellement parano que...

 

truman2

 

  • chaque fois qu'un avion passe au-dessus de ma tête, je crois qu'il va d'office s'écraser sur moi. (Mais ça, vous le saviez déjà)

 

  • quand je vais aux toilettes, je vérifie toutes les 30 secondes si j'ai bien verrouillé la porte. (C'est un peu lié à ma mémoire de poisson rouge aussi)

 

  • j'ai l'impression que les gens se foutent de moi dans mon dos. (Y'a sûrement un peu de vrai, mais bon ça fait partie de mon manque de confiance en moi)

 

  • je souffre du syndrôme de Truman. (En gros, je flippe à l'idée que ma vie ne soit qu'une grosse mise en scène suivie sur les télés du monde entier, ou en tout cas d'être observée en permanence)

 

Mais bon, ça va, je me soigne... Sinon, y'a d'autres paranos dans le coin ?

 

8 juillet 2012

Une famille qui crie est une famille unie

On dit qu'on ne choisit pas sa famille. Moi, si j'avais eu le choix, j'aurais fait pareil. Que je remette les choses dans le contexte...

Je suis la benjamine d'une famille de 5 enfants divisés en 2 groupes, 3 "grands" et 2 "petites" dont l'ordre de naissance est une fille, deux garçons, deux filles. Enfin, je ne vais pas vous raconter tous les détails, mais c'était assez pratique pour les jeux de sociétés. Maintenant les 3 "grands" sont partis vivre leurs vies, et je dois dire que la belle époque me manque quand même. Chez nous, c'était un peu comme "7 à la maison". Je n'ai jamais vraiment regardé cette série mais je crois qu'il y avait un peu de ça, la solidarité entre frères et soeurs tout ça. On s'entend tous bien, frères, soeurs mais aussi cousins, cousines, oncles et  tantes...

En bref, la famille, pour moi, c'est HYPER important. Alors quand des gens me racontent les guerres froides (ou pas) qui se passent dans leur famille, au début je ne comprends pas, puis ça me rend triste.

 

1981

 

Alors bon, je ne regardais pas "7 à la maison" mais je ne pense pas que c'était tout à fait pareil. Chez moi, quand y'a un truc qui nous contrarie, on n'est pas du genre à ne rien dire. D'office, ça gueule. Alors on pourrait croire que ce n'est pas un climat très agréable, mais au moins on ne se tape pas (trop) dessus. Et puis, les conflits sont vite réglés. On crie un coup, on se fait la gueule une heure, une journée (voire deux quand c'est un peu plus grave, mais jamais plus) et puis c'est comme si il n'y avait jamais rien eu. Ce qui est drôle c'est que ma soeur et moi, on passe pour des filles calmes mais s'ils savaient... En fait, on s'énerve à la maison, les tensions sont extériorisées, du coup c'est plus facile de supporter les autres. Ben oui, les autres, les amis, les potes, les connaissances, faut travailler sur ce genre de relation. Il faut faire attention à ce qu'on dit, ce qu'on fait si on veut les garder dans notre cercle. Avec la famille, c'est beaucoup plus simple. Tu peux dire ce que tu veux, il y aura toujours le lien de sang et des parents communs pour vous réunir un jour ou l'autre. Je trouve ça tellement dommage que des frères, des soeurs, des gens de la même famille se déchirent pour des questions sans intérêts comme l'argent ou qui est le préféré ? L'argent on s'en fout. Et puis l'important n'est pas de savoir combien on vous aime, mais combien vous aimez. Ca devient un peu cucul, comme dans "7 à la maison" tiens ! =)

 

29 juin 2012

Procrastinateuse professionnelle.

Comment ça ce n'est pas un métier ? Non, c'est vrai. Ce serait plutôt une terrible maladie. Un fardeau que je porte depuis longtemps déjà... Non, mais sérieusement, c'est plus fort que moi. Irrémédiablement, je remets au lendemain.

Depuis l'école secondaire à peu près (et déjà un peu en primaire), j'attends toujours le dernier moment pour commencer mes travaux ou étudier mes examens. A chaque fois je me dis que c'est la dernière. Y'en a marre de passer des nuits blanches à stresser comme une folle, pour au final rendre de la m*rde sur un morceau de bois. Et le PIRE dans cette histoire, c'est que je réussi mes travaux ! Parfois les examens mais toujours en seconde session, même si j'étudie la veille. Je suis soit donc officiellement cocue, soit un pur GENIE ! C'est peut-être vrai. Chaque fois que mon père analyse (parce que c'est vraiment ce qu'il fait) mon bulletin de notes, la réaction est sensiblement la même : "Nondidju ! Tu te rends compte des résultats que tu ferais si tu travaillais régulièrement !"

Mais ce n'est pas tout ! Depuis toujours, j'énerve les gens. Mon sentiment étant toujours mitigé en sortant d'un examen ou en rendant un travail (beh oui, comment pourrais-je réussir en travaillant si peu ?) je ne manque jamais de dire que je l'ai certainement raté. Et quand je reçois les résultats... Ben les gens tirent parfois la tronche. Pas tous heureusement, ils savent que je ne fais pas exprès.

Bon, après ce paragraphe pauvre en modestie, je l'avoue, j'en viens aux choses sérieuses. En vrai, je ne suis pas qu'une grosse feignasse. J'ai juste la trouille. Pour faire simple, je préfère attendre le dernier moment pour avoir cette excuse au cas où mon travail/examen est vraiment merdique. Non, je ne supporterais pas de voir un travail pour lequel je me suis investie corps et âme détruit à coups de stylo rouge et de remarques assassines. Logique non ?

 

"Cherchez pas docteur, c'est plus haut que l'coeur !"

 

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28 juin 2012

Houston, we have a problem...

Ouranophobie : peur du ciel

 

Uranophobie : peur des cieux

 

Apeirophobie : peur de l’infini

 

Ballistophobie : peur des missiles

 

Météorophobie : peur des météores

 

Sidérophobie : peur des étoiles

 

Il n'y a pas vraiment de mot pour qualifier la phobie dont je souffre (enfin, souffrir est un grand mot ^^). La liste qui précède aide un peu à s'en faire une idée. En gros, à l'instar de nos ancêtres celtes et gaulois, j'ai peur que le ciel ne me tombe sur la tête. Je m'explique. Depuis la terreur qui a suivi les attentats du 11 septembre 2001, mais aussi tout ce qu'on nous a appris sur la guerre et ce qu'on en voit malheureusement encore aujourd'hui, l'arme atomique, les bombardements, etc... je me trouve inexplicablement paralysée quand j'entends un avion passer un peu trop bruyamment au dessus de ma tête. Bref, j'ai peur du ciel et de tout ce qui pourrait en tomber. (Ca ne s'applique pas à la météo, j'adore la pluie et la neige ^^) Autant vous dire que les films tels qu'Armaggedon et Deep Impact, très peu pour moi !

Par extension, les détonations fortuites me foutent les boules aussi. Et Dieu seul sait pourquoi, les avions se sont donné le mot pour passer le mur du son au-dessus de MA maison !

D'autre part, ne me demandez jamais d'observer les étoiles avec vous. Depuis une douce soirée d'été passée sur la terrasse à regarder ces "boules de gaz brûlant à des millions de kilomètres de nous" (merci Pumba pour la paraphrase)et laisser divaguer mon esprit sur la vie et son sens, l'infini, la place de l'homme dans l'univers, c'est devenu impossible. J'ai déprimé pendant des jours après ça. La philosophie, c'est pas trop mon truc non plus donc...

 

armageddon

 

Et je rajoute celle-là, qui n'a pas grand chose à voir avec le reste :

 

Géphyrophobie : peur de franchir les ponts

 

 C'est pas une peur panique, mais je n'aime pas trop ça. Surtout, si il faut passer au-dessus de l'eau, j'ai l'impression que je vais tomber dedans. Alors, je regarde droit devant moi et je marche le plus vite possible.

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Fat Bottomed Girl
  • En gros, je raconte ma vie. Les trucs qui ne vont pas, les trucs qui se passent bien. Les choses qui me révoltent ou me mettent en joie. Des choses qui, je l'espère, n'intéressent pas que moi...
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